Première étape, la vérification du matériel en compagnie de Gautier et Thomas du team Cheminées Poujoulat. Il faut tout déballer. Deux ancres, des fusées, des fumigènes, des gilets, des lignes de vie pour s’attacher, une combinaison de survie (TPS), deux radeaux de survie, une grosse pince ou une scie à métaux permettant de déconnecter le gréement du bateau, du matériel de rechange pour le moteur…
Deuxième étape, la vérification du matériel de communication du bord. Deux VHF, deux voies de communication satellite téléphone et mail (open port et fleet), un mini C (antenne qui signalise la position du bateau)
Troisième étape, les équipements liés à la sécurité. Les trappes de survie, présence de deux désalinisateurs, une pompe d’assèchement, le clapet de fermeture du réservoir de gasoil ou encore un réchaud sécurisé avec fermeture du gaz.
Quatrième et dernière étape, le plombage. Les jaugeurs relient certains objets au bateau, à l’aide de fils de plomb dans le but de les rendre immobiles. Le skipper ne pourra alors pas les déplacer dans le bateau lors des mâtossages et saura donc où se trouvent ces objets fixes en cas de nécessité.
Qu’est ce qui est plombé ? Les deux ancres, les deux radeaux de survie, deux bidons de neuf litres d’eau et le container de survie.
Que contient le container de survie ?
- Un iridium de secours
- Une VHF de secours
- Un GPS de secours
- Quelques aliments
- Des fusées
- Un transpondeur
- Un radar actif (balise)
- Lampe, couteau, corne de brume et miroir de signalisation