Le skipper de Cheminées Poujoulat a ainsi confié être plutôt satisfait de sa réparation mais avoir encore quelques doutes sur la capacité du système à charger les batteries. Il faudra parcourir quelques milles pour en être sûre et ainsi compter sur cette énergie essentielle au fonctionnement d'instruments indispensables tels que le pilote automatique, le désalinisateur d'eau ou encor le système informatique pour la météo.
Très fatigué, le Suisse a laissé beaucoup d'énergie dans cette parenthèse technique et doit maintenant reprendre un peu de forces.
" Je suis reparti. Pour l’instant, j’essaye de charger mes batteries. Pour le moment, j’ai juste de quoi faire tourner le pilote automatique. J'essaye de faire de la nav, de prendre les mails et après je vais tout couper. Je suis satisfait de ma réparation mais je ne suis pas encore sûr que ça charge correctement. A Dunedin, il y avait plusieurs parties abritées. Du coup, si les vents tournent, il suffit de faire 5 ou 6 milles. Il y avait moins de risque pour moi. Je suis fatigué, je n’ai pas arrêté du tout. Je vais tout couper et je vais aller dormir parce qu’il faut que je recharge mes batteries aussi ".