Solitaire, vous êtes sûr ?
29.07.10, 16:34
© Courcoux/Marmara/Le Figaro
Le passage de la pointe Bretagne s’est bien passé pour tout le monde. Toujours pas de gros écarts, donc, entre les Figaristes. Sous spi et poussé par le courant, la fin de matinée était plutôt agréable pour Bernard qui est passé à l’Ouest de l’île de Sein avec une poignée de compatriotes, filant tranquillement à 7-8 noeuds vers le Golfe de Gascogne.
Désormais, les skippers s’attendent à être ralentis dans les prochaines heures à l’approche d’une dorsale. Au pointage de 16 heures, Bernard étaient 32ème à l’Ouest d’une flotte encore regroupée mais qui commence à s’élargir d’Est en Ouest.
« Tout va bien. C’est un peu compliqué depuis le départ, et même sur toute la partie en Manche. On attendait une bascule hier soir qui est arrivé un peu tard, donc finalement ce n’était pas si facile de comprendre le plan d’eau… Content de moi ? Non. Par contre, je me suis bien géré. Je n’ai pas beaucoup dormi mais je me suis nourri et changé. Je me suis occupé de moi comme il faut, même si je ne me suis pas assez reposé à mon goût. En ce moment, je suis avec Anthony Marchand et sur mon tribord, il y a Gildas Morvan. On est passé à la chaussée de Sein finalement et les autres dans le raz. Maintenant, une dorsale nous barre la route. Mais c’est sympa, on a toujours d’autres bateaux à vue… Ce n’est pas parce que c’est compliqué que ce n’est pas sympa ! », expliquait Bernard à la vacation de 14 heures.
« Tout va bien. C’est un peu compliqué depuis le départ, et même sur toute la partie en Manche. On attendait une bascule hier soir qui est arrivé un peu tard, donc finalement ce n’était pas si facile de comprendre le plan d’eau… Content de moi ? Non. Par contre, je me suis bien géré. Je n’ai pas beaucoup dormi mais je me suis nourri et changé. Je me suis occupé de moi comme il faut, même si je ne me suis pas assez reposé à mon goût. En ce moment, je suis avec Anthony Marchand et sur mon tribord, il y a Gildas Morvan. On est passé à la chaussée de Sein finalement et les autres dans le raz. Maintenant, une dorsale nous barre la route. Mais c’est sympa, on a toujours d’autres bateaux à vue… Ce n’est pas parce que c’est compliqué que ce n’est pas sympa ! », expliquait Bernard à la vacation de 14 heures.
