Et ça repart…
02.08.10, 18:41
© ThMartinez / Sea&Co
Le départ de la deuxième étape est pour demain, le Figaro Cheminées Poujoulat est au repos pour quelques heures encore dans le port de Gijon et son skipper, Bernard Stamm, savoure lui aussi, les derniers instants de quiétude avant de repartir à l’assaut des 418 milles de course à parcourir avant d’atteindre son port de base : Brest.
Les trois jours de pause touchent à leur fin et les Figaristes ont rechargé leurs batteries à la mode espagnole. « On a bien dormi, mais en décalé. Nous sommes arrivés dans la nuit de vendredi, on a donc dormi toute la journée du samedi. Finalement, on vivait la nuit et dormait le jour Mais ça colle plutôt bien avec les coutumes du pays ».
Désormais, l’heure est à la préparation du 2ème round. Satisfait de sa première étape, il souhaiterait que la deuxième lui ressemble. « Je suis plutôt satisfait de ce que j’ai fait, certains ont déjà raté leur solitaire. Pour ma part, je suis plutôt pas mal. L’objectif cette fois-ci : réussir à rester dans le bon wagon ».
Comme un jeu de miroir
Les dés de la météo ne changeront pas vraiment la donne, mais la carte « changement de sens » est abattue. Sur une route Sud-Nord, la flotte devra troquer le portant contre du près dans le Golfe de Gascogne, déjouer les pièges de la fameuse dorsale en contournant l’obstacle et terminer, on l’espère, dans un jeu passionnant de chats et de souris le long de la côte Bretonne, Sud cette fois-ci.
À 18 heures, cet après-midi, les 45 concurrents participeront au briefing météo de cette deuxième étape avant de se retrouver demain sur la ligne de départ à 14 heures.
Désormais, l’heure est à la préparation du 2ème round. Satisfait de sa première étape, il souhaiterait que la deuxième lui ressemble. « Je suis plutôt satisfait de ce que j’ai fait, certains ont déjà raté leur solitaire. Pour ma part, je suis plutôt pas mal. L’objectif cette fois-ci : réussir à rester dans le bon wagon ».
Comme un jeu de miroir
Les dés de la météo ne changeront pas vraiment la donne, mais la carte « changement de sens » est abattue. Sur une route Sud-Nord, la flotte devra troquer le portant contre du près dans le Golfe de Gascogne, déjouer les pièges de la fameuse dorsale en contournant l’obstacle et terminer, on l’espère, dans un jeu passionnant de chats et de souris le long de la côte Bretonne, Sud cette fois-ci.
À 18 heures, cet après-midi, les 45 concurrents participeront au briefing météo de cette deuxième étape avant de se retrouver demain sur la ligne de départ à 14 heures.
