« C’est quelque chose de très symbolique et de fort. Je suis content, évidemment, qu’il m’ait choisi pour cela. Lui et moi nous connaissons depuis longtemps. Nous travaillons ensemble sur mes gréements depuis le début de mon histoire en monocoque 60 pieds, en 1999 » a détaillé le marin suisse qui a donc brisé, avec le panache qu’on lui connait, la bouteille de champagne sur le Nacira 6.50 de son ami, après la bénédiction du Père Louis Simier de Plouguerneau et en présence d’un public venu nombreux. « C’était un joli moment » a ajouté Bernard qui entame à présent une semaine chargée. Une semaine qui devrait notamment être marquée par la mise à l’eau de sa monture, jeudi. « On espère que la météo le permettra car du vent fort est annoncé. Ensuite, très vite, on attaquera les premières sorties en mer. J’ai hâte ! ».