Premier grand étonnement, le nombre de manœuvres, je ne pensais pas qu’il y en avait autant, Bernard est constamment en action, sur le pont, à courir à l’avant sortir des voiles de la soute, à rentrer dans le bateau pour aller jeter un œil à la table à carte, à préparer un changement de bord, de voiles, etc…cela n’arrête jamais, c’est impressionnant, je me demande comment il fait pour ne pas être couvert de bleus, il n’y a pas de temps mort, on comprend de ce fait beaucoup de choses, la complication pour aller dormir, pour se nourrir et la fatigue que cela crée. Deuxième point d’étonnement : la puissance du bateau, c’est grisant, ça va vite et on voit que cela doit taper dur. On a l’impression que le bateau va se couper en deux dès que le vent monte un peu.