On a enfin trouvé du vent, le bateau peut enfin s'affirmer un peu et cesser de peiner dans des risées paresseuses. Du coup, avec la vitesse, on retrouve les bonnes vieilles habitudes de la charrette sans suspension, les roues cerclées de métal qui heurtent sèchement les accidents du terrain, à toute vitesse sur le chemin défoncé d'Itajaí.
Ça craque, ça grince, ça couine de partout. Le carbone n'est pas une matière à compromis. Le seul amortisseur ici, c'est nous.
Bon je vous laisse avec une petite photo de Fernando et je vais border, on ne saute plus assez !
Bonne nuit,
Philippe et Bernard